Pour se rendre compte de l’importance des laiteries de la région dans les années 1930, on avance le chiffre de 35 tonnes de beurre expédiées quotidiennement sur Paris. A cette époque, quasiment toutes les laiteries du secteur sont organisées sous forme de coopératives. La crise du phylloxera vers 1885 a contraint les viticulteurs à se reconvertir, notamment dans l’élevage. Ils se sont naturellement regroupés pour écouler et valoriser plus facilement leurs marchandises